Depuis le début de l’année 2024, l’OMS a rapporté des taux de létalité élevés, avoisinant 4 % sur l’ensemble des cas suspectés de contamination par le virus mpox en RDC. L’ampleur actuelle de Mpox en RDC n’a pas débuté en août 2024, mais en novembre 2023. Depuis le premier cas de Mpox constaté chez l’être humain en 1970, la RDC a connu plusieurs élévations de cas. Si le directeur général de l’OMS a déclaré que cette nouvelle flambée constitue « une urgence de santé publique de portée internationale », c’est en raison de plusieurs événements majeurs. En RDC, Mpox ne cesse d’élargir sa contamination sur le continent.
Malgré l’existence de solutions à cette épidémie, il est difficile de déployer les médicaments nécessaires aux patients car c’est une maladie que les dirigeants africains doivent prendre au sérieux. Il ne faut pas laisser l’Afrique sombrer dans ce malheur qui tue déjà son peuple.
À travers un message de Jean Kaseya, le directeur du Centre africain de contrôle et de prévention des maladies de l’Union africaine, cette situation est considérée comme une « absence de solidarité de l’Occident ». L’Organisation mondiale de la santé, les ONG et bien d’autres structures de santé doivent rapidement prendre des mesures directrices afin de mettre fin à cette épidémie, qui se propage en dehors des conflits existants sur le continent.
Christian OTCHO (Stg)
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