De profonds nids de poules se constatent ça-et-là sur des axes N’Dali-Djougou et mettent à rude épreuve la circulation. Depuis des années, le calvaire perdure et nécessite un regard salvateur de l’État central. On y retrouve des véhicules figés dans l’eau à tout moment. Des chauffeurs envahi par des desolation les plus grandes. Bref, c’est de l’amertume total.
Principale voie reliant les populations de N’Dali et ses environs au département de la Donga via Djougou, il faut passer avant au plus 3 heures de temps pour rallier les deux communes. Mais avec le niveau avancé de dégradation de l’axe, il faut désormais passer 5 heures voire même 6 heures de temps avant d’y arriver avec surtout tous les risques y afférents. Le niveau de dégradation de cette voie cause beaucoup d’accident. Mieux encore, cette infrastructure publique devient une piste d’insécurité. Le dégradation oblige les conducteurs à plusieurs fois solliciter le système de freinage. Et dans cette évolution frein à main, les conducteurs se font attaquer par des hors la loi qui vide et chauffeur et passagers de leurs biens.
Même si la présence policière sur le corridor freine un peu le phénomène, la réfection sinon la reprise de la construction de la voie sera la seule et unique solution pour soulager la peine des usagers.
Awali IDRISSOU (Stg)
Laisser un commentaire sur cet article