
Les français étaient aux urnes, le dimanche 10 avril 2022. Avant, pendant et après, les citoyens malgré les désaccords avec le régime Macron n’ont pas fait recours à la violence physique ni au saccages du bien publics et privés. Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont qualifiés pour le second tour, selon l’estimation Ipsos-Sopra Steria pour France 24. Jean-Luc Mélenchon arrive en troisième position avec 21,7 % des suffrages.
Contrairement à la France que plusieurs pays membres de la francophonie copient en terme de démocratie, les périodes électorales ont toujours été des moments d’affrontements sanglant avec la clé plusieurs pertes en vie humaine. Mieux, des biens publics et privés sont généralement saccagés et brûlés. Tout ceci, parce que les chefs d’État Africain s’accrochent trop au pouvoir au point où ils modifient la constitution qui les a vu élire et prennent plusieurs qui mettent en mal leur sincérité et installent le doute dans la tête des citoyens et des acteurs de l’opposition.
Même si en France des mouvements d’humeur auraient été enregistré à Rennes après l’annonce des résultats, il n’y a eu aucune violence mortelle comme se fut généralement le cas en Afrique. Alors, il faut que ce modèle français de gestion et d’organisation des élections soit aussi copié par les pays africains.
Selon les résultats publiés par nos confrères de France-24, Emmanuel Macron arrive premier avec (28,0 %) suivi de Marine Le Pen (23,2 %). Ils sont qualifiés pour le second tour de l’élection présidentielle, selon l’estimation Ipsos-Sopra Steria pour France 24.
Les autres candidats arrivent dans l’ordre suivant : Jean-Luc Mélenchon (21,7 %), Éric Zemmour (7,0 %), Valérie Pécresse (4,8 %), Yannick Jadot (4,7 %), Jean Lassalle (3,0 %), Fabien Roussel (2,4 %), Nicolas Dupont-Aignan (2,1 %), Anne Hidalgo (1,7 %), Philippe Poutou (0,8 %), Nathalie Arthaud (0,6 %).Le taux d’abstention du premier tour est estimé à 26,0 % selon Ipsos-Sopra Steria pour France 24 (contre 22,2 % en 2017 et 28,4 % en 2002).
Alfred ADJOMAGBOSSOU
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