Ces dernières semaines, le monde des médias au Bénin a été secoué par la perte de plusieurs figures éminentes de la presse. La communauté journalistique est en deuil après le décès de ces professionnels qui ont marqué leur époque par leur travail et leur engagement.. laissant un vide immense dans le paysage médiatique. Nous pouvons citer en exemple, François Xavier Noumon rappelé à Dieu le lundi 22 juillet 2024 et Aboubacar Sadikou qui a rejoint l’Éternel ce mercredi 7 Août 2024, avant ces derniers il y avait déjà eu le départ d’autres acteurs de médias en début d’année.
Ces disparitions rappellent la fragilité de la vie et la contribution inestimable des professionnels des médias à notre compréhension du Bénin en particulier et du monde en général. Les hommages affluent de la part de collègues, de lecteurs, auditeurs et de téléspectateurs, soulignant l’impact profond qu’ils ont eu sur leur profession et sur la société. Alors que nous pleurons ces pertes, il est important de se souvenir de leur héritage et de la façon dont ils ont façonné le journalisme moderne. Leur travail continue d’inspirer les jeunes journalistes et de rappeler l’importance d’une presse libre et courageuse qui est au service de sa nation.
Mais, pour éviter l’épuisement et les risques professionnels, entraînant ces pertes en vies humaines, les journalistes doivent prioriser leur santé mentale et physique, en recherchant un soutien psychologique et en faisant des pauses régulières. Ils doivent adopter des pratiques de sécurité adéquates, équilibrer travail et vie personnelle, et bénéficier de soutien institutionnel. La formation continue sur la gestion du stress et la sécurité est également essentielle pour leur résilience.
Car, leur contribution à la société reste à jamais gravée dans l’histoire des médias, et leur impact continue d’inspirer les générations futures dans la construction d’un Bénin développé.
✍️ Borel Awanou
Leave feedback about this